La jarretière est un ornement des ordres ecclésiastiques de la société féerique. Article personnel et secret de la tradition de l'Anneau, son dessin indiquait le statut de son porteur au sein de la société païenne.
Le Noble Ordre de la Jarretière fut crée en 1348
Selon la Tradition populaire, le roi Edouard III aurait ramassé la jarretière que la comtesse de Salisbury avait perdue et l'aurait fixé sur sa propre jambe en disant "Honni soit qui mal y pense" déformé en "le déshonneur à celui qui en pense du mal". Ce commentaire royal devint la devise de l'Ordre.
La jarretière prouvait que la comtesse de Salisbury était membre de l'ancienne religion mais qu'elle était surtout une grande prêtresse de son Ordre (de son congrès de sorcières comme disait l'Eglise).
Cette jarretière féerique perdue en public mettait la comtesse en grand danger car la politique de persécution et d'exécution des hérétiques menée par les évêques était à son apogée.
Le choix que fit le roi Edouard de 12 chevaliers pour lui-même et de 12 chevaliers pour le prince de Galles soit un total de 24 chevaliers, revenait à créer deux assemblées souveraines, constituées chacune de 13 convents requis pour protéger la comtesse.
Edouard arborait donc 168 jarretières attachées à son manteau plus celle qu'il portait à la jambe ce qui faisait un total de 169. Donc 13 x 13 assemblées sous la protection du roi d'Angleterre étaient largement suffisant pour faire taire n'importe quel évêque superstitieux.
Les Chevaliers de la Jarretières d'aujourd'hui appartiennent à une assemblée de sorcières et sont des députés féeriques.
Auteur : Laurence Gardner
Titre de l’ouvrage : Le Royaume des Seigneurs de l’Anneau
Chapitre IX : La Terre d’Elphame
Paragraphe : La magie féerique et la jarretière
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