jeudi 19 avril 2012

ORGANISATION MORALE, RELIGEIUSE, INTELLECTUELLE ET JUDICIAIRE DE LA MONARCHIE


LA FAMILLE
La Famille est la plus nécessaire des institutions puisque sans elle, ni l’individu ni la société n’existeraient. La fortifier c’est à la fois affermir la société et servir les vrais intérêts de l’individu.
Tous les actes de la République tendent à la détruire ou l’empêcher de se constituer. L’anarchie économique contraint les deux parents au travail, et cela au grand détriment de l’équilibre familial et de l’éducation des enfants ; le partage forcé dissout le patrimoine familial  qui est dévoré par le fisc et les gens de loi.

L’ÉGLISE
L’Eglise, pouvoir purement spirituel, est, dans la Monarchie, distincte du pouvoir temporel de l’Etat. Pour elle, liberté complète dans l’ordre de ses prérogatives spirituelles. Le droit d’association, reconnu, respecté et protégé par la Monarchie, permet aux associations religieuses de se constituer librement et de posséder.

L’UNIVERSITE
La liberté d’enseignement est la règle constante de la Monarchie. L’Etat laisse aux familles la faculté d’envoyer leurs enfants à l’école, au collège, à l’université de leur choix. Les Universités sont donc rendues à la vie autonome.

LA MAGISTRATURE
Les magistrats de la République, nommés, payés, avancés par l’Etat, ne peuvent être indépendants. Aussi la Justice n’est-elle point exercée aujourd’hui par des juges mais par les domestiques du Pouvoir. 
La Monarchie assure l’indépendance de la magistrature en en faisant un corps autonome qui se recrute lui-même.











Ouvrage : La Monarchie Libératrice - Petit Manuel du Royaliste



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